Je respire profondément, mon cœur bat la chamade alors que je tape ces mots sur mon clavier. Je suis une mère au foyer de 34 ans qui fantasme sur les mecs de cité, les rebeus ou les blacks en jogging. J’aime imaginer leur corps musclé et leur virilité débordante, leur peau foncée contre la mienne. Je suis sûre que mes voisins me trouveraient folle si ils entendaient mes pensées. Mais je ne peux pas m’empêcher de fantasmer sur ces mecs qui ont l’air si durs, si sauvages. Je m’imagine les croiser dans l’ascenseur, les regarder droit dans les yeux, et les inviter chez moi pour une nuit de plaisir. Je frissonne en pensant à toutes les choses que je voudrais leur faire. Je voudrais les entendre gémir sous mes caresses, les sentir se durcir sous mes baisers, les prendre dans ma bouche, les sucer jusqu’à ce qu’ils ne puissent plus se retenir. Je voudrais qu’ils me prennent, qu’ils me baisent sauvagement, qu’ils me fassent jouir encore et encore. Je suis là, assise à mon bureau, en train d’écrire ces mots, et je ne peux pas m’empêcher de me toucher. Je glisse ma main sous ma robe, je caresse mes cuisses, je me frotte contre ma culotte. Je suis trempée, excitée, avide de plaisir. J’ai besoin de sentir un mec de cité, un rebeu ou un black en jogging contre moi. J’ai besoin de sentir sa bite dure dans ma chatte, de sentir ses mains sur mes seins, de sentir son souffle chaud dans mon cou. Je veux qu’il me prenne, qu’il me fasse crier, qu’il me fasse jouir. Je suis prête à tout pour réaliser ce fantasme. Je suis prête à prendre des risques, à briser les conventions, à vivre ma vie pleinement. Parce que je sais que c’est ce que je veux, ce dont j’ai besoin. Un mec de cité, un rebeu ou un black en jogging pour me faire vibrer de plaisir, pour me faire découvrir de nouveaux horizons, pour me faire sentir vivante.